Après avoir vu "Je vais bien, ne t'en fais pas", il y a de cela tout juste un an, en dégustant de la poire chocolat en compagnie de Titoune et Bouchon, j'étais resté sans voix, ce film m'avait secoué, j'aurais du être prévenu Olivier Adam n'écrit pas des livres pour nous faire rire.
Alors quand j'ai enfin eu à ma disposition "A l'abri de rien", son dernier livre sorti lors de la rentrée littéraire 2007, je me suis dit je vais enfin pouvoir me faire mon propre avis sur son style.
La 4e de couverture était concise et claire :
"Marie se sent perdue. Son mari, ses enfants sont le dernier fil qui la relie à la vie. Ce fragile équilibre est bouleversé le jour où elle rencontre les "Kosovars", ces réfugiés dont nul ne se soucie et qui errent, abandonnés, aux confins de la ville.
Négligeant sa famille, Marie décide de leur porter secours."
Mais je ne pensais pas que ce livre serait aussi poignant, aussi fort, aussi triste oui il faut bien le dire aussi triste. Combien de livre m'ont secoué autant que celui ci, à rester éveillé tard pour le terminer avec des larmes plein les yeux pas beaucoup...
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